Une surface cultivée pour l'alimentaire est convertie en une surface cultivée pour la production de biocarburants. Ce changement a pour conséquence de modifier la quantité de carbone retenue sur un terrain donné, cela varie en fonction du type de culture.
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Les changements d'affectation des sols indirect correspondent à l'installation d'une culture énergétique à la place d'une culture alimentaire, qui sera alors déplacée vers d'autres écosystèmes riches en carbone, d'où la création d'une dette carbone.
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Les méthodes de calcul des impacts potentiels ont pour objectif d'aider à interpréter les mesures des critères inventoriés au sein d'une analyse de cycle de vie.
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Lorsqu'on produit des biocarburants, on obtient en même temps des coproduits, employés comme compléments alimentaires dans l'élevage. Le problème est de savoir comment répartir les émissions de GES générés par les usines entre les biocarburants et leurs coproduits.
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Les effets sur la santé des biocarburants pourraient être plus importants que les carburants fossiles, car il est possible que ceux-ci émettent plus de particules.
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Le degré d'incertitude concernant la collecte d'une donnée détermine sa prise en compte dans l'ACV. De plus, plus les données collectées sont sûres, grâce à l'amélioration des connaissances scientifiques, plus les ACV seront crédibles et précises.
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2008
Les ONG environnementalistes militent depuis les premières ACV pour prendre en compte le Changement d'Affectation des Sols Indirect (CASI). Vers 2008,
le problème alerte les autorités publiques en Europe comme en France. Ce n'est qu'en 2012 que l'ADEME rend un rapport sur les CASI.
Apparu peu avant les CASI, les changements d'affectation des sols directs (CASD) font moins débat car il existe maintenant des modèles sur la façon de les prendre en compte.