1982 :

 

L’enquête emploi redevient annuelle.

 

1982 :

 

Au cours de la XIIIème Conférence Internationale des statisticiens du travail. Le BIT adopte une définition plus claire : chômeur est une personne sans travail, disponible pour travailler et à la recherche d’un travail. Cette mesure a des conséquences marginales sur la mesure du chômage en France.

 

1986 :

 

Le Rapport Malinvaud recommande de mettre l’accent sur le resserrement des délais de publication, soit deux mois après la fin de la collecte et d’introduire des questions permettant de mesurer le sous-emploi. Ces recommandations mèneront à l’automatisation des chiffrements.

 

1990 :

 

Pour répondre aux recommandations de Malinvaud, l’INSEE met au point le logiciel Quid, sensé automatiser les chiffrements.

 

1992 :

 

Mise en place de la collecte assistée par informatique (CAPI). Cette nouvelle méthode permet des gains de temps importants.

 

1994 :

 

Début de le régionalisation des enquêtes.


2000 :

Depuis 2000, une enquête trimestrielle est menée auprès des « sortants » (demandeurs d’emploi radiés des listes de l’ANPE). Cette enquête permet d’identifier les motifs réels de sorties des listes de l’ANPE.  Les motifs sont soit absence au contrôle dûe à la reprise d’un emploi, soit pour formation. « Un grand nombre de sorties sont suivies, selon les répondants, d’une réinscription à l’ANPE dans les trois mois » (Philippe Ravalet, Dares, CNIS, 8 mars)

 

Mi 2001 :

 

Mise au point d’un accompagnement personnalisé des chômeurs. Lors de son inscription, le conseiller de l’ANPE établie avec le chômeurs un diagnostic individualisé sur sa compétence. Tous les six mois la situation du demandeur d’emploi est réexaminée.