Présentation du Groupe :
Un groupe de six étudiants en Master de Communication à Sciences Po chargé de réaliser la cartographie d’une controverse actuelle.
- Sarah Belkahla: veille web
- Elise Camoin: scénographe
- Pauline Chanvin: enquêtrice
- Alix de Maintenant: enquêtrice
- Florence Heron: enquêtrice
- Maxime Vincent: scénographe
Pauline
Passionnée de voyages, Pauline ne manque pas une occasion pour parcourir le monde. Et pas n’importe comment s’il vous plaît ! L’auto-stop n’a aucun secret pour notre Essonnienne d’origine. Diplômée d’une licence en Sociologie à Paris-Sorbonne, Pauline a su investir ses talents d’enquêtrice au profit de notre étude.
Alix
Passée par une classe préparatoire littéraire effectuée à Danielou, Alix a affiné durant ces années là des qualités rédactionnelles certaines. En parallèle de ses études de Communication, Alix est aujourd’hui rédactrice pour le journal Le Taurillon en Scène. Notre future journaliste n’a pas sa langue sans sa poche et sa ténacité et sa débrouillardise nous ont aidé plus d’une fois à décrocher des entretiens à grand coup de harcèlement.
Maxime
Grand rêveur, Maxime n'en est pas pour autant très critique sur le monde qui l'entoure. Créateur plutôt que créatif, rien n’assouvie sa soif de découvertes. Inde, Mongolie, ses voyages sont sources d'inspiration permanente pour ses projets musicaux, cinématographiques et littéraires. Un éclectisme artistique qui a plus d’une fois prouvé sa valeur au cours de notre controverse.
Florence
Le pilier du groupe? Florence sans aucun doute ! Sa persévérance et son sens des responsabilités nous ont permis de ne jamais perdre de vue nos objectifs. Avec brio, elle a su rassembler et canaliser les ardeurs de chacun. Sa curiosité et son éclectisme qui l’ont poussée à apprendre le russe et le trombone ont été un vrai plus pour manier les ressources littéraires et Zotero à la perfection.
Sarah
Sarah, au sourire emprunt du soleil de Menton, où elle a effectué le collège universitaire de Sciences Po, a enthousiasmé l’équipe par son efficacité et son apport essentiel de provisions gustatives durant les réunions. Engagée et dynamique, elle jonglait aisément entre l’enquête et ses projets politiques. Pleine de ressources, elle est aussi une super conductrice d’autolib pour nous accompagner au fin fond du Val de Marne pour nos entretiens.
Elise
Elise, à l’origine de l’intérêt pour le sujet mort numérique, n’a pourtant rien de morbide. Après une prépa cinéma, cette marseillaise aux cheveux de feu qui n’ont d’égal que son tempérament, a failli suivre une grande carrière de basketteuse. Derrière l’oeil de la caméra, cette fan de documentaires a vécu cette enquête comme une vraie investigation.
Présentation de la démarche de notre recherche
Notre démarche était la suivante : rendre compréhensible un phénomène peu connu et peu mobilisateur mais dont la définition s’avère essentielle pour l’avenir du numérique. Notre choix de scénographie expériencielle est à l’image de notre démarche scientifique. Se mettre dans la peau d’un endeuillé au temps du numérique fut la clef de notre entrée dans cette controverse. Il nous a fallu expliciter auprès de spécialistes du numérique l’importance du problème lorsqu’ils ne cessaient de minimiser le phénomène et de l’ériger en prétexte pour des problématiques plus globales et cela, qu’ils soient sociologues, notaires, députés ou prêtres. La transdisciplinarité d’un tel phénomène nous a amené à parcourir un territoire d’opinions et de géographie divers, que ce soit dans les loges du sénat, dans les études notariales, les arcanes de Sciences Po ou les chapelles de monastères.