On mesure l’importance de la blogosphère et des sites d’information, auxquels il est permis d’ajouter les agrégateurs d’information (néanmoins souvent dotés d’une ligne éditoriale très distincte), dans cette controverse. Les réseaux sociaux sont, à l’inverse, peu nombreux, mais le plus célèbre d’entre eux, Facebook, contient à lui seul une multitude de liens externes et internes qui rendent son positionnement central dans la spatialisation. Enfin, la presse spécialisée a une importance toute naturelle puisqu’elle est au cœur du traitement de ce genre de controverse scientifique-artistique.
À part Facebook, qui est un réseau social comme nous le précisions précédemment, ce sont les sites institutionnels qui sont les plus connectés. Ils sont souvent considérés, sur le reste de la toile, comme des sites référents en matière d’informations relatives à la controverse et constituent, de fait, une source fiable et gage de crédibilité à tout site qui en fait mention. Il y a, par ailleurs, une dimension morale/légale qui semble animer les webmasters référençant les sites institutionnels : ils estiment sans doute que parler du château de Versailles et de ses expositions ou des institutions qui y sont rattachées mérite un référencement des acteurs concernés. Cela ne prive pas pour autant les premiers d’émettre leur avis sur les seconds.