A propos
Sources

ministère de la santé

La DGS (Direction Générale de la Santé) est le secteur du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé chargé de la préparation de la politique de santé publique et contribuant à sa mise en œuvre.

En son sein, trois instances de consultation participent aux politiques de santé :

~ Le Haut conseil de la santé publique (HCSP), instance d’expertise en santé publique
elle-même composée de six commissions spécialisées

~ La Conférence nationale de santé (CNS)

~ Le Comité national de santé publique (CNSP)

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L’actuel Ministre de la santé, Xavier Bertrand, est entré en fonction le 15 novembre 2010, succédant à Roselyne Bachelot qui occupait le poste depuis mai 2007.
La position du Ministre sur la question du Bisphénol A, plus nuancée que celle de sa prédécesseur, s’inscrit toutefois dans sa continuité.

En effet, M. Bertrand a notamment jugé prématurée la proposition de loi du Nouveau Centre visant à interdire l'utilisation de produits chimiques suspectés d'être des perturbateurs endocriniens Perturbateur endocrinien • n. m.
[leurre hormonal, xéno-œstrogène, disrupteur endocrinien] Notion apparue à la fin du XXe siècle pour désigner toute molécule ou agent chimique composé, xénobiotique, ayant des propriétés hormono-mimétiques.

Wikipédia
(notamment le BPA).


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Par ailleurs, le 14 avril 2011 - soit le lendemain de la publication du rapport sur les effets du Bisphénol A sur la reproduction conduit par l’Inserm dont le Ministère de la Santé avait sollicité l’expertise collective - Xavier Bertrand a déclaré lors de débats en séance publique à l’Assemblée Nationale qu’il souhaitait attendre les résultats d’expertises prévues ultérieurement avant de décider d’une éventuelle interdiction : « Les principaux résultats de ces expertises devraient être disponibles entre fin 2011 pour le bisphénol A et fin 2012 pour les autres substances perturbatrices endocriniennes présentes dans les produits grand public », ajoutant également qu’ « il n'y a pas de bonne précaution sans bonne information ».


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Le site officiel du Ministère de la Santé met à disposition, « par mesure de prévention », une plaquette de recommandations à destination des femmes enceintes et parents afin de « limiter leur exposition quotidienne et celle de leur enfant au bisphénol A par le biais des aliments ». Dans cette plaquette on peut notamment lire que « les études scientifiques évaluées par les autorités sanitaires françaises ne montrent pas, à ce stade, de risque avéré pour la santé, aux doses auxquelles les consommateurs sont normalement exposés. Cependant, elles ne permettent pas d’éliminer clairement certaines conséquences pour la santé, notamment à plus long terme ».






~ t o p ~





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