en France et en Europe
Le taux d'emploi a peu progressé, du fait
d'un marché du travail inefficace (augmente
de 3,4% contre 6,4% en Allemagne).
Constate une variation de l'emploi de +14,2%,
mais ce bon chiffre est du selon le rapport
non pas aux 35 heures mais à la démographie dynamique qui pallie l'innefficacité de la réforme.
et prévision de l'OFCE.
+480 000 emplois
Pas d'impact sur la compétitivité
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in France : using the german annexion of alsace moselle in 1870-1918
Le rapport conclut à 155 000 emplois créés
en France, mais avec un écart-type de +/- 300 000 emplois, ce qui fait qu'il est impossible de conclure : l'effet sur l'emploi pourrait être de 150 000
détruits autant que 400 000 emplois créés.
« si la reduction du temps de travail a eu un effet, nous ne le voyons pas de façon significative dans les données »
et emploi : une nouvelle évaluation, Revue de l'Irés n°38
Cet article cherche d'abord à montrer que ces exceptionnelles performances d'emplois sont à mettre au crédit de la réduction du temps de travail (RTT). Il montre ensuite pourquoi ni l'effet différé des baisses de charges, ni les allègements fiscaux de 1994 et 1996 ne peuvent constituer une explication alternative, tandis que la hausse de la productivité serait elle véritablement due à la RTT.
-30 000 à -100 000 emplois à long terme,
malgré des effets positifs à court terme.
A particulièrement touché les salariés les moins qualifiés (peu de flexibilité salariale car payés au SMIC et SMIC non flexible) et les peu qualifiés (salaires plus flexibles mais les aides de l'Etat l'allègement des cotisations sociales n'étaient pas suffisamment adaptées).
du temps de travail : moins d'emplois
et plus d'inégalité
Les effets sur l'emploi sont quasi nul, tout comme sur la compétitivité.
des simulations ex ante
aux évaluations ex post
+350 000 emplois
+5% de compétitivité
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Évaluations de l'effet emploi, Revue Économique
+ 300 000 emplois sur 5 ans.
Existence d'un effet net direct positif et significatif sur l'emploi, avec des taux de l'ordre de 6 à 7% pour les entreprises passées à 35 heures
dans le cadre des dispositifs incitatifs Robien
et Aubry I, et 3% pour les autres.
de compétitivité entre la France
et l'Allemagne
Les exportations françaises représentaient 55% des exportations allemandes il y a dix ans, alors qu'aujourd'hui elles n'en représentent plus que 40%. Le prix des exportations françaises a progressé entre 2003 et 2008 de 8% de plus que les exportations allemandes. Enfin, la France a perdu des parts du marché sur tous ses produits à l'exportation.