A-t-on été en contact ?

Non.

Métier :

Médecin sexologue.

Nationalité :

Italien.

Étude(s) de référence pour notre controverse :

‘Puppo V. Embryology and anatomy of the vulva: the female orgasm and women's sexual health. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2010. Article in Press. doi:10.1016/j.ejogrb.2010.08.009’

[The G-spot does not exist. Response by V. Puppo to the article "O. Buisson: The G-spot and lack of female sexual medicine". Gynecol Obstet Fertil 2010;38:781-84.]

Pourquoi ne cherche-t-il pas le point G (quels intérêts) ?

“La zone hypothétique nommée "point G" ne devrait pas être définie avec le nom de Grafenberg. L'orgasme féminin doit être une phase normale du cycle de la réponse sexuelle"

“Grafenberg n’a jamais écrit qu’il existait de “point G”

“L’article d’Odile Buisson présente des hypothèses pour expliquer d’autres hypothèses qui sont des conclusions sans base scientifique.

Comment décrit-il le point G ?

Le « clitoris interne » n’existe pas, le vagin n’a pas de relation anatomique avec le clitoris, c’est anatomiquement impossible. Le point G est une fraude scientifique.

Avec quelles méthodes ?

Puppo se réfère aux études passées de Dickinson (1949) et de Masters and Johnson (1966). Il reproche aussi à Odile Buisson d’utiliser des termes qui ne sont pas définis dans le livre « Gray’s anatomy » de 2008, tels que « bulbes clitoridiens, complexe clitoridien, clitorido-urétro-vaginal, espace urétro vaginal, Point G».

Ses supporters :

Vincenzo Puppo a réussi à se créer une forte présence numérique sur internet, s'exprimant sur de nombreux forums. Il se sert par exemple de Youtube pour mettre en scène sa divergence avec Odile Buisson et souligner le refus dont ses articles ont fait l’objet dans le Journal of Sexual Medecine, se disant victime de censure.