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Attention:

Les réponses entre acteurs sont une conversation reconstituée suivant les déclarations des uns et des autres.

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Derrière quel acteur vous alignez-vous ?

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Attention:

Ce sondage est réalisé grâce aux moyens offerts par Internet, ce qui inclue certains avantages, mais aussi certaines faiblesses. Par conséquent, il ne peut être qu'un reflet imparfait de la réalité.


Emmanuele Jannini
Ovidie
Andrea Burri
Odile Buisson
Tim Spector
Olivier Florant
Beverly Whipple

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Posted by Paul on
Bonjour,
Pour ma part, je ne tiens pas à voter pour un des "acteurs" proposés ci-dessus… En effet, je suis novice sur le sujet et les seules connaissances que j’en ai sont celles qui figurent sur le site.
Cependant, je pense qu'avant même de poser un débat, il est important de s'interroger sur sa nature, et en particulier sur la ou les position(s) qu'il occupe au sein de différents « ordres ». C'est dans le cadre de cette interrogation que l'ensemble de votre travail apparaît très intéressant, notamment par rapport aux enjeux politiques, idéologiques et sociaux de la recherche du point-G. Je crois avant tout qu'il est particulièrement important de distinguer les différentes natures que le débat peut prendre. Personnellement j'en distingue trois (mais il y a peut être d'autres aspects que j'oublie...):
- Tout d'abord un aspect scientifique portant sur la nature, l'existence, et la composition physique du point G.
- Ensuite, un aspect empirique et presque sensoriel, relevant de l’expérience personnelle de chacun (à ce propos, si l’expérience des femmes semble fondamentale dans la compréhension personnelle et empirique des influences et du pouvoir du point g sur le corps, certaines expériences masculine comme des témoignages pourraient peut-être aider à la compréhension du phénomène?)
-Et enfin, un enjeu idéologique et politique.

Une fois les différents ordres définis et identifiés, je pense qu'il est important de s'interroger sur leurs interférences. En effet, il semble que s'il reste beaucoup de questions qui doivent trouver une réponse scientifiques, celles doivent être traitées sans être perturbées par des considérations idéologiques, même si "science sans conscience n'est que ruine de l'âme", dans un débat si virulent, le progrès scientifique doit venir éclairer la connaissance que l'être humain a de lui même, par rapport à lui même. La science ne doit pas être utilisée pour défendre des idéologies portant sur des combats qui reposent, si noble soient-ils, sur une recherche de reconnaissance politique, idéologique et non scientifique... Je m'explique : Par exemple, lorsque l'on pose une question aussi simple que celle de l'égalité entre les sexes, sa réponse n'a pas besoin d'un appui scientifique, car il s'agit d'un principe qui reflète des valeurs morales et leur prégnance et jamais un IRM ne pourra d'avantage le légitimer.
Je ne dis pas que la science n’a aucune utilité dans les débats, bien au contraire, mais les enjeux politiques de l'existence du point G ne doivent jamais être confondus ou mélangés avec les enjeux de réponses scientifiques. Car l’aide que la science peut apporter à des considérations morales ou idéologiques est une aide qui devrait intervenir à posteriori (la question est posée… Les données scientifiques peuvent aider à y répondre) et jamais « a priori » ! Or, sur ce point je me permets d’émettre une critique par rapport au travail effectué ici : les auteurs de ce site expliquent que l'un des enjeux de l'existence du clitoris et de sa qualification en tant qu'"organe" est relié à la qualification de l’excision comme une "pratique culturelle" OU "une mutilation".... Cette affirmation est un non sens car "pratique culturelle" relève d'une qualification sociologique et/ou anthropologique. Le terme mutilation renvoi quant à lui à des notions empiriques et scientifiques. Cela signifie concrètement qu'organe ou pas l'excision EST UNE MUTILATION et également une pratique culturelle (lorsqu'elle est exécuté au sein de tribu Massai). Selon moi cette pratique va à l'encontre de toutes les lois de la raisons, de l'évolution, il s'agit d'un acte inhumain, qui n'aurais jamais du exister... Mais ceci est un jugement de valeur qui s'inscrit dans un ordre Moral et idéologique.
L'objet de cette courte réflexion est donc de dire que les recherches scientifiques ne doivent pas être orientés dans le but de soutenir une idéologie ou un combat politique peut importe à quel point il est légitime. Par ailleurs, au sein de ce que j'ai pu ire dans vos textes récapitulatifs sur les acteurs du débat, il est régulièrement fait état du manque d'intérêt que la science porte à la question du point G (nature/localisation/existence..), peut être est-ce en parti dû au fait qu'il règne encore aujourd'hui une trop grande passion autour de ces questions.
Le fait de savoir si le point –G existe ou non, quels rapports il entretient avec l’orgasme, comment celui-ci est constitué, toute ces interrogations ont une nature scientifique, ensuite la science en apportant des réponses « objectives » peut venir en aide aux différents individus en leur apportant une meilleure connaissance d’eux même ou d’autrui. C’est à partir de ces connaissances qu’il est possible de « vivre mieux »… Mais de trop grande interpénétration entre la recherche scientifique les combat idéologique le tout sur un fond de guerre des sexes… Tout cela ne porte qu’à introduire des passions et de la confusion dans ce débat.
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